PARADISE IN THE DESERT
Dans une petite ville diamantaire désolée du désert namibien où la mine a récemment fermé, l’existence harmonieuse et insouciante des 9 000 habitants est violemment secouée. La compagnie de diamants NamDeb (partenariat entre la Namibie et la société Beers) – fondatrice, propriétaire et principal employeur de cette oasis - se retire parce que la mine de diamants est épuisée. Avec pour effet que l'entreprise rejette tout ce qui n’entre plus dans le périmètre de son activité principale. Habituellement, après l'exploitation d'une mine, la nature reprend ses droits sur la zone abandonnée par l'homme. Comme lorsque la ville voisine de Kolmanskop, autrefois une cité diamantaire vivante et prospère, devenue un fantôme enseveli sous le sable. Un exemple dissuasif pour les Oranjemunders, un groupe d'habitants dévoués à leur paradis et qui refusent la catastrophe imminente en tentant de sauver à tout prix leur ville de la ruine et du déclin.